Ces années de parcours associatif m’ont souvent confronté à des problématiques liées aux données personnelles, et aux données de santé en particulier.

L’époque était peu sensibilisée à ces questions et j’étais de plus en plus frappé par une certaine négligence générale qui les entourait.

 

Devenu ensuite consultant en Marketing Digital, j’ai dû relever de nouveaux défis liés à la protection des données, mais sous un angle différent, plus axé sur les données numériques.

 

Puis est arrivé le RGPD (Règlement Général sur la Protection des Données), avec la création de la fonction DPO (Délégué à la Protection des Données).

Cet événement a marqué un tournant majeur dans la prise en compte de la protection des données, particulièrement bien synchronisé avec mon intérêt croissant pour le sujet.

 

Quand j’ai lu pour la première fois un descriptif de la fonction DPO, j’ai su immédiatement que ce serait mon prochain métier :

           le sujet m’intéressait au plus haut point

        le rôle transversal et polyvalent du DPO au sein de l’organisation s’accordait parfaitement à la variété des compétences que j’avais acquises dans mes formations et mon expérience professionnelle :

> Compétences juridiques

> Connaissances informatiques et expertise internet

> Management

> Pédagogie

> Gestion de projet

> et même Marketing (« vendre » aux équipes l’importance des questions relatives aux données personnelles – et croyez-moi, c’est important…).

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Je me suis donc immédiatement lancé dans ce champ d’activité, en commençant par me former.

 

J’ai suivi début 2019 la seule formation labellisée CNIL qui existait à l’époque (ANAXIL – DPMS Groupe) et obtenu la Certification BUREAU VERITAS de Délégué à la Protection des Données.

 

Naturellement ensuite, au vu de mon parcours professionnel, je me suis spécialisé dans la protection des données personnelles au sein des associations du secteur médico-social.